Freelancing, télétravail, entrepreneuriat… Le monde du travail est en pleine (r)évolution, et la crise du COVID a encore accentué les nouvelles tendances. C’est un fait, les carrières linéaires ne font plus rêver les jeunes générations touche-à-tout, ultra-connectées, assoiffées d’indépendance et d’autonomie. Désormais, on change de métier plusieurs fois au cours de nos vies, on slashe, on se réinvente, on se réoriente.

Les salariés en CDI passent au freelancing, au consulting, se forment et se reconvertissent. Leur relation au travail et à l’entreprise en est bousculée. Effet collatéral économique de la pandémie ou bouleversement plus profond des besoins de la société et des nouvelles générations ? Force est de constater que de plus en plus de salariés quittent leur emploi ou envisagent de le quitter. Comme l’a démontré le phénomène de la grande démission aux Etats-Unis. Phénomène que certains économistes prédisent également en France. Tandis que les jeunes diplômés ne se projettent plus dans la même vie professionnelle que leurs prédécesseurs.

Ces tournants de carrière et ces départs peuvent être subis, comme à la suite d’un licenciement économique, ou choisis. Souvent en cause du désengagement des salariés : un manque d’écoute, une perte de sens, des salaires trop bas… Ils peuvent aussi résulter d’un burn-out, d’un événement familial (naissance, divorce…), ou tout simplement d’une envie de changement.

Toutes les classes socio-professionnelles sont touchées par ces transformations. On peut avoir un très bon job, être cadre dans une multinationale et décider de quitter le confort du salariat (et la pression qui va avec) pour créer sa propre entreprise. Il n’y a plus de règle ou de schéma préétabli.

Freelances : un nouveau vivier de talents pour les entreprises

De leur côté, les entreprises font face à une pénurie de talents et à des tensions de recrutement de plus en plus pesantes. Le freelancing est alors un moyen pour elles de trouver des profils experts et compétitifs. L’enjeu désormais pour les entreprises : réussir à attirer et à fidéliser ces talents.

Les freelances sont aussi une réponse adaptée pour les plus petites entreprises (PME, TPE, artisans) qui auraient un besoin ponctuel d’accompagnement ou qui souhaiteraient externaliser leurs fonctions support, sans surcharger leur masse salariale.

Il n’y a qu’à observer le nombre fleurissant de plateformes de mise en relation entre freelances et entreprises pour comprendre le marché.

Télétravail, coworking : l’avènement du travail hybride et des pratiques nomades.

Le travail hybride est un mode d’organisation selon lequel les employés peuvent alterner entre travail à la maison, au bureau ou dans un lieu tiers. Grâce au digital et aux technologies mobiles, salariés et freelances peuvent désormais travailler de n’importe où : en télétravail à leur domicile, dans des espaces de coworking, en entreprise, voire à l’étranger. Plébisciter le travail hybride permet d’accroître la qualité de vie au travail. Cela offre de l’autonomie et du choix aux collaborateurs. Selon une étude Adecco, 73% des salariés français aimeraient bénéficier de cette organisation de travail et les dirigeants semblent plutôt favorables à cette méthode. Pour ce faire, les managers doivent s’appuyer sur leur intelligence émotionnelle en responsabilisant leurs collaborateurs – et donc leur faire confiance. Si les digital nomades se développent de plus en plus, nous sommes persuadés qu’il ne faut pas dissocier l’humain du digital dans ces nouvelles méthodes de travail. C’est pourquoi elleboss.fr propose aux entrepreneures de l’accompagnement, des journées de coworking, des temps de rencontres, des ateliers de formation et de développement personnel pour les aider à rompre l’isolement.

L’indépendance sans sacrifier le collectif

Si les freelances expriment dans leurs motivations un besoin de liberté, ils ne veulent pas pour autant renoncer au collectif. Devenir freelance, c’est un moyen pour eux de choisir leurs clients et les projets avec lesquels ils veulent travailler. Mais il n’est pas question pour eux de rester isolés. Ils se constituent un portefeuille de clients, travaillent avec leur réseau, rejoignent des collectifs d’indépendants… Les espaces de coworking leur permettent d’ailleurs d’alterner entre travail à la maison et à plusieurs. L’occasion pendant ces moments d’échanger avec leur communauté, de se recommander les uns les autres, de se créer un réseau. « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin » disait l’adage.

Les plateformes de mise en relation permettent aux indépendants d’accéder plus facilement aux entreprises, qu’il s’agisse de PME, de grands groupes ou de jeunes entreprises. Elles leur offrent de la visibilité et un cadre sécurisé pour effectuer leurs missions. Par exemple sur elleboss.fr, les paiements sont séquestrés et garantis d’être effectués sous 10 jours à l’issue de la mission. En marge des missions, la plateforme propose des événements à sa communauté. Ateliers, matinées de rencontres, webinaires… Une façon d’aider les freelances à sortir de l’isolement.

Les entreprises quant à elles ont accès à un vivier de compétences qui leur permet de concilier externalisation et mixité. Elles peuvent trouver la perle rare ultraspécialisée pour leur projet.

En portant des valeurs de confiance, de partage, d’engagement et de disponibilité, elleboss.fr met à profit des entreprises et des freelances, une nouvelle gestion de leurs compétences et des ressources humaines. Une nouvelle façon de travailler qui répond aux besoins de flexibilité de chacun.